Retour de flamme

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Andréa aimait beaucoup son voisin. Plus que son père ou sa mère ne l’aimaient et ils avaient parlé de lui un jour en le traitant de vieux vicieux. Quand il la croisait dans la rue, il avait toujours un mot gentil et il lui arrivait même de l’aider pour ses devoirs parce que ses parents étaient souvent ailleurs. Elle lui faisait aussi penser à sa petite-fille, toujours si coquette et si mignonne mais qu’il ne voyait pas souvent.
Un jour qu’il rentrait chez lui, elle l’attendait en haut des marches de l’escalier et elle lui a demandé s’il peut l’aider pour les maths et, bien sûr, il l’avait fait entrer. Ce n’était pas difficile et il suffisait de réfléchir. Après avoir terminé son devoir, Andréa lui a demandé s’il peut lui donner quelque chose à boire. Il lui a versé un verre de jus d’orange et elle a trempé ses lèvres dedans puis elle lui a demandé pourquoi il n’a pas de téléphone portable.
– Parce que je n’en ai pas besoin, lui a répondu son voisin !
– Si tu en avais un, je pourrais t’envoyer des photos, a ajouté Andréa !
Il lui a demandé pourquoi il aurait besoin d’avoir des photos d’elle puisqu’il la voit tous les jours puis il lui a demandé à qui elle en envoie.
– A mes amies, lui a répondu Andréa ! Tu veux que je te montre ?
Elle a allumé son smartphone et elle lui a mis l’écran sous les yeux après avoir pianoté dessus.
– C’est toi, lui a-t-il demandé ?
Andréa a retourné son téléphone.
– Oups, celles-ci ne sont pas pour toi !
– Elles sont pour qui, a-t-il insisté ?
– Pour mes amies !
– Tu te montres toute nue à tes amies, lui a-t-il demandé ?
– Elles le font bien elles aussi !
Et Andréa lui a montré les photos que ses amies lui envoyaient et ses amies étaient toutes nues.
– T’es mignonne aussi, mais je te préfère habillée, a-t-il ajouté !
– Dis-moi ce que tu préfères chez moi, a insisté Andréa !
– Ce que je préfères ? Ton inconscience ! Je n’ai eu qu’un enfant et un petit-enfant ! Tu aurais embelli ma vie avec ton inconscience, a-t-il ajouté !
– Et mon inconscience, ça va jusque-là ?
Après ces mots, Andréa a poussé son voisin dans son fauteuil puis elle s’est précipitée pour déboutonner son pantalon et lui retirer puis elle lui a retiré son caleçon et avant qu’il ne puisse réagir, elle s’est déshabillée à son tour.
– Tu vois, a ajouté Andréa, là, ce n’est pas une photo ! Alors, dis-moi ce que tu aimes !
– Tu as de jolis petits seins !
– Et moi je trouve qu’ils sont gros, a ajouté Andréa ! Est-ce que tu voudrais les embrasser ?
Elle est montée sur ses genoux pour ça et en passant, elle l’a traité de cochon parce qu’il bandait puis elle s’est empalée sur la bite avant de donner ses seins à téter. Jamais sa femme ne lui avait fait ça et sa belle-fille n’était pas d’humeur à en faire autant avec son fils.
Après lui avoir fait téter ses seins plusieurs fois, Andréa s’est agenouillée sur le tapis et elle s’est mise à sucer la bite et quand elle le regardait, les yeux d’Andréa étaient pleins d’étoiles.
– Tu es content, lui a-t-elle demandé quand la bite a été bien raide ? Tu veux me prendre ?
Bien sûr qu’il le voulait et elle lui a demandé de lui dire comment et il l’a fait allonger sur le fauteuil pour pouvoir s’enfoncer.
– C’est la première fois, lui a-t-elle dit quand son pénis a été enfoncé jusqu’au fond ! Je n’aurais jamais voulu que ce soit quelqu’un d’autre !
Pour la remercier encore, il lui a fait un cuninlingus mais il s’est arrêté avant d’achever et il lui a it que ça sera plus agréable quand ce sera une fille.
– Ça te plairait que ce soit une fille qui t’embrasse là, lui a-t-il encore demandé ?
Andréa ne savait pas mais elle s’est bien jurée d’essayer bientôt. Quand son voisin lui a demandé s’ils doivent continuer, elle a voulu qu’il la prenne dans la bouche mais cette fois, il lui a soutenu la tête et la salive n’a pas tardé à s’écouler de la bouche de la voisine mais la séance d’initiation n’était pas terminée. Il n’était pas au bout de ses peines.
– Tu as déjà pratiqué la sodomie, lui a encore demandé Andréa ?
– Tu veux dire avec une femme ?
– C’est parce que je voudrais que tu sois le premier !
Il l’a fait mettre en levrette et il s’est enfoncé dans son anus. Andréa n’a pas dit un mot, même pas gémi et elle s’est conduite comme une grande fille.
– Tu sais, ça fait longtemps que je sais que tu seras mon premier amant, a-t-elle ajouté alors qu’il se retirait de son anus ! Maintenant, je veux que tu te finisse dans ma bouche !
Elle l’a poussé à nouveau dans le fauteuil et elle s’est agenouillé pour emboucher la bite et la sucer. Les humeurs de son anus et de son vagin l’avaient bien lubrifiée et elle s’est mise à sucer conscieusement puis, tout à coup, sans prévenir, la semence à giclé au travers de sa bouche, couvrant sa langue. Les réflexes lui commandaient de se reculer mais elle a tenu bon parce qu’elle voulait recueillir la semence jusqu’à la dernière goutte et après ça, Andréa a montré son trophée à son voisin avant de l’avaler.
– Tu reviendras ?
Bien sûr, mais la semaine prochaine, j’aurai mes règles ! Si tu veux vraiment tu pourras me prendre dans la bouche ou dans l’anus, a-t-elle ajouté ! J’apporterai des capotes pour les jours où tu risqueras de m’engrosser ! Elles sont en distribution libre à la pharmacie du collège ! Tu ne veux quand même pas me faire un bébé ?
Un bébé, justement, ils en ont fait un même s’ils avaient pris un peu d’avance. Andréa avait dix-huit ans et huit mois quand elle a accouché de leur fille. Inutile de dire que ses parents n’étaient pas très contents d’avoir un gendre en âge d’être leur père mais quand la vie est comme ça, il faut bien se faire une raison.

FIN

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